UNIVERSITÉ D'OTTAWA Faculté des Arts

Laboratoire de français ancien


Notice sur le Roman d'Alexandre d'Alexandre de Paris 
(éd. Armstrong et al., 1937) et sur le texte numérisé correspondant des TFA

par 

May Plouzeau 

(Dernière intervention: le 22 janvier 2002)

Table des matières.

§0.
   
§0.1. 
   
§0.2.

§1.
   
§1.1.
   
§1.2.

§2.
   
§2.1. 
   
§2.1.1. 
   
§2.1.2.
   
§2.1.2.1.

    §2.1.2.2. 
   
§2.2.

    §2.2.1.
    §2.2.2. 
   
§2.2.3.

§3.

§4.
Objet et contenu de la présente Notice.
TFA, TLA et Alexandre.
Un peu d'histoire. Organisation de la Notice.

Description d'AlexParA.
AlexParA : plan d'ensemble.
Zoom avant sur AlexParA.

Description d'AlexParANum1.
Codes d'AlexParANum1.
Repères chiffrés.
Crochets droits et parenthèses.
Crochets droits.
Parenthèses et propositions de correction.
Corrections et propositions de correction à AlexParA figurant dans 
AlexParANum1 : genèse et présentation.
Du bon usage des errata d'AlexParA figurant dans le MFRA.
Corrections indispensables à AlexParA.
Gestion des corrections et des propositions de correction dans AlexParANum1.

Abréviations et codes utilisés dans la présente Notice.

Remerciements.

§0. Objet et contenu de la présente Notice.
      §0.1. TFA, TLA et Alexandre.

Dans la Bibliographie des TFA telle qu'elle se lisait sur la page http://www.lib.uchicago.edu/efts/ARTFL/projects/TLA/LFA.bib.html le 14 janvier 2002 figurent quatre entrées appelées respectivement «Alexandre de Paris [1180], Roman d'Alexandre, branche 1 (The Medieval French Roman d'Alexandre, vol. II, /./ 1937) [Alexandre1*]», «Alexandre de Paris [1180], Roman d'Alexandre, branche 2 (The Medieval French Roman d'Alexandre, /./ 1937) [Alexandre2*]», «Alexandre de Paris [1180], Roman d'Alexandre, branche 3 (The Medieval French Roman d'Alexandre, /./ 1937) [Alexandre3*]» et «Alexandre de Paris [1180], Roman d'Alexandre, branche 4 (The Medieval French Roman d'Alexandre, /./ 1937) [Alexandre4*]».

§0.2. Un peu d'histoire. Organisation de la Notice.

Les quatre branches sont contenues dans un seul et même volume édité en 1937. J'appelle AlexParA le texte imprimé dans ce volume. M. Pierre Kunstmann, Professeur à l'université d'Ottawa et co-directeur du LFA, m'avait invitée à faire partie de l'équipe de «nettoyage» de la numérisation de cet ensemble et j'intervenais croyais-je au bout de la chaîne. J'appelle AlexParANum0 le texte numérisé issu de ma collation intégrale avec AlexParA de l'état numérisé qui m'avait été envoyé d'Ottawa. AlexParANum0 à son tour a subi quelques transformations avant de devenir le texte numérisé que l'on interroge sur le site http://www.lib.uchicago.edu/efts/ ARTFL/projects/TLA. J'appelle AlexParANum1 ce texte numérisé dans l'état que j'ai examiné sur ledit site à la date du 14 janvier 2002. Dans le §1 je décris AlexParA en me concentrant sur celles de ses particularités qui conditionnent la nature d'AlexParANum0. Les codes d'AlexParANum1 sont énumérés §2.1. Dans le §2.2 j'attire l'attention sur la nature, la genèse, et l'aspect matériel des corrections et des propositions de correction à AlexParA figurant dans AlexParANum1. Le §3 contient la liste des abréviations et codes de la présente Notice.

§1. Description d'AlexParA.
      §1.1. AlexParA : plan d'ensemble.

L'équipe américaine qui a publié dans les Elliott Monographs /./ différentes versions du Roman d'Alexandre a fourni en 1937 un texte imprimé du Roman d'Alexandre de Paris. Voici la description du volume qui renferme ce texte : The Medieval French Roman d'Alexandre. Volume II. Version of Alexandre de Paris : text edited by E. C. Armstrong, D. L. Buffum, Bateman Edwards, L. F. H. Lowe, Princeton (Princeton University Press), Paris (Les Presses Universitaires de France) 1937, XXIII + 2 planches + 358 pages (Elliott Monographs in the Romance Languages and Literatures 37). à la suite du DEAF, nous désignons par AlexParA le texte imprimé tel qu'il se lit dans ce volume. Le Roman d'Alexandre d'Alexandre de Paris comporte quatre branches. Dans AlexParA, la branche 1 occupe les pages 1-73, la branche 2 les pages 74-142, la branche 3 les pages 143-320 et la branche 4 les pages 321-358. Le nombre des manuscrits qui ont conservé le Roman d'Alexandre d'Alexandre de Paris est élevé, et l'appareil critique impressionnant : les notes, variantes (sont omises celles de la branche 3), et errata divers en sont répartis entre les volumes III (1949), V (1942), VI (1976) et VII (1955) de l'édition du Medieval French Roman d'Alexandre (dorénavant MFRA) publiée dans les Elliott Monographs in the Romance Languages and Literatures. Nos collègues n'ont pas ménagé leur peine, puisqu'ils ont essayé de restituer un texte qui -- je ne sais si je m'exprime bien -- transcendât les leçons individuelles des copistes, ce qui ne les a pas empêchés de prendre en quelque sorte comme fil conducteur un manuscrit de préférence aux autres. Pour la branche 1, ce manuscrit est M (Paris, BnF fr. 24365), et pour les autres branches, c'est G (Paris, BnF fr. 25517).

§1.2. Zoom avant sur AlexParA.

Mais ce fil conducteur n'est nullement ce que j'appelerais un manuscrit de base. En effet, le texte d'AlexParA est obtenu par la combinaison de plusieurs manuscrits, et M et G sont constamment transformés. Voici quelques exemples (j'ai consulté M sur son lieu d'archivage à Paris en avril 1996 ; je dispose de microformes de G).

J'avais été intriguée en lisant ceci  : Devant seur le nasel un escharboucle chier (p13 br1 v562) et Et ot une escharboucle ens el nasel devant (p34 br1 v1496), me demandant si le double genre d'escarboucle s'originait dans M. Or, si on se reporte au manuscrit, on lit respectivement .j. charboucle ml't ch' folio 4v au lieu de un escharboucle chier et .j. escharboucle folio 10r au lieu de une escharboucle. La différence de genre est donc due aux éditeurs et l'on voit que la philosophie de l'édition rendrait inopérante une proposition de lecture du type «lire un (ou une) avec le ms».

Pour que l'on puisse saisir l'esprit de l'édition d'AlexParA, je cite intégralement ci-dessous la laisse 60 de la branche 3 (v1123 sq) telle qu'on la lit dans le volume (p168), puis je donne ce que porte en fait le ms G.

br3 v1123 Qant voit li maines rois sa gent ainsi morir,
br3 v1124 Por aidier a ses homes vait ses armes saisir.
br3 v1125 Courant vint a la rive, qu'il voloit ens saillir ;
br3 v1126 Dans Clins et Tholomés le courent retenir,
br3 v1127 Ireement li dïent : «Rois, por coi veus morir ?
br3 v1128 Car te menbre du saut que tu feïs a Tyr.
br3 v1129 Se muers en autre terre, quel part porrons fuïr ?
br3 v1130 N'a home en ta compaigne qui te doive servir,
br3 v1131 Ençois q'en son païs puisse ja revenir,
br3 v1132 Que tout ne soit seürs de la teste tolir.»
br3 v1133 Li rois clina vers terre et geta un souspir.
br3 v1134 Les traïtors ques guïent fait devant lui venir,
br3 v1135 Il en jura ses dieus mar le vaurent traïr.

Les leçons de G (folio 122v) peuvent (paradoxalement) être présentées en variante par rapport à ce texte. J'inclus naturellement les variantes graphiques ; les principes de la toilette du texte sont ceux d'AlexParA, mais je n'introduis pas de ponctuation et marque en italique les abréviations développées. 

Br3 v1123 r. ainsi sa gent mo. -- br3 v1128 C. menbre vous du saut que feïstes a Tyr -- Après br3 v1128 Qant feïs ton berfroi desi q'as murs venir Tu saillis en la vile com hom de grant aïr Tu la preïs par force le duc fesis morir A grant honte et a glaive max en dut avenir Qui riens te contretient il ne puet pas garir -- br3 v1129 e. autres terres que porrons devenir -- br3 v1130 Vous n'avés nul baron qui vos d. -- br3 v1131 Enchois q'e. -- br3 v1132 Q. tous n. -- br3 v1133 r. cline v. -- br3 v1135 Tous ses diex en jura m.

Je donne d'autres exemples d'écarts entre G et AlexParA dans PlouzeauAlexH d'où est extrait (avec quelques changements mineurs) l'exemple précédent de la br 3 v1123 sq. Dans PlouzeauAlexH, je pose par ailleurs plus ou moins directement la question suivante : quel usage linguistique peut-on faire d'un document tel qu'AlexParA ? La réponse va de soi : le texte composé par les érudits du 20e siècle n'autorise ni étude de graphie, ni étude de morphologie, ni étude de syntaxe ; reste que les 15924 vers d'AlexParA constituent pour l'exploration du lexique un formidable réservoir, que démultiplie le luxe des variantes procurées dans le MFRA.

§2. Description d'AlexParANum1.
      §2.1. Codes d'AlexParANum1.
               §2.1.1. Repères chiffrés.

La plupart des repères en chiffres d'AlexParA ont disparu dans AlexParANum1 : quand on cherche une séquence du texte d'AlexParANum1 dans la base des TFA sur le site http://www.lib.uchicago.edu/efts/ARTFL/projects/TLA, la séquence est seulement référencée par le numéro de la page d'AlexParA qui la contient.

§2.1.2. Crochets droits et parenthèses.
            §2.1.2.1. Crochets droits.

On rencontre dans AlexParANum1 des crochets droits. Ils figuraient déjà dans AlexParA. Voici un exemple qui permettra de saisir leur signification : Vit la gent de sa terre por sa guerre effr[e]ee (AlexParANum1 = AlexParA p156 br3 v612). Ici, G porte effree et il a été corrigé par les éditeurs d'AlexParA (sur les séquences eee dans G, voir PlouzeauAlexH, p. 199). Je souligne que ces crochets d'AlexParA entourent toujours un seul caractère, lui-même partie d'un mot, et non une suite de caractères ou un mot complet. Le principe de la présence de tels crochets dans AlexParA est d'ailleurs étrange, puisque précisément AlexParA ne prétend pas refléter fidèlement un manuscrit de base.

§2.1.2.2. Parenthèses et propositions de correction.

On trouve aussi dans AlexParANum1 des propositions de correction à AlexParA : elles se présentent en principe entre parenthèses précédées de la mention «l.» (qui signifie «lire»). Voici un exemple qui permettra de saisir l'emploi et la disposition de ce type d'indication : «Qant vos laissai as tentes, molt oi sens de briçon (l. bricon). Dans cet exemple d'AlexParANum1, il faut comprendre que la leçon briçon d'AlexParA p80 br2 v292 est à corriger en bricon.

Noter qu'AlexParANum1 contient des corrections à AlexParA. Ces corrections ne se marquent par aucun code spécifique. Sur la genèse possible et la présentation des corrections et des propositions de correction figurant dans AlexParANum1, voir §2.2.

§2.2.

       §2.2.1.
Corrections et propositions de correction à AlexParA figurant dans AlexParANum1 : 
genèse et présentation.
Du bon usage des errata d'AlexParA figurant dans le MFRA.

Pour tenter de décrire la démarche à l'oeuvre dans AlexParANum1 en matière de corrections et de propositions de correction, je me crois obligée de référer à mon travail sur AlexParANum0, on verra pourquoi. Il importe de savoir que l'édition du MFRA a disséminé et parfois comme dissimulé dans plusieurs volumes, et souvent dans les notes au texte, des errata au texte d'AlexParA. Ainsi, on lit Donees sont li trieues et fait li serement (AlexParA p177 br3 v1521). Il est suggéré dans le MFRA VI, p. 37, de lire les trieues au lieu de li trieues (les, j'ai vérifié, est ce que porte G). Or, la philosophie des errata reposant sur la leçon du ms de «base» n'est pas solide, et leur utilité douteuse, étant donné le caractère reconstruit du texte (voir §1.2) et le fait que nous ne sommes pas en présence d'une édition qui prétende nous faire savoir ce que porte exactement M ou G : un écart entre M et AlexParA (pour la branche 1) et entre G et AlexParA (pour les branches 2, 3 et 4) ne peut être réputé fautif (cf. encore PlouzeauAlexH, p. 195, p. 196, p. 198, p. 199, et en particulier la note 6 p. 203 et la note 8 p. 204). Voilà pourquoi en préparant AlexParANum0, je n'avais pas fait état de toutes les propositions de corrections fournies dans les errata du MFRA.

§2.2.2. Corrections indispensables à AlexParA.

En définitive, je m'étais contentée d'introduire les seules propositions de corrections suivantes dans AlexParANum0 (ce qui ne veut pas dire qu'il ne reste pas de nombreux passages peu satisfaisants dans AlexParA -- voir les discussions de PlouzeauAlexH -- ni que d'autres corrections ou propositions de correction ne soient pas passées dans AlexParANum1). Je les fais figurer entre accolades.


P46 br1 v2066
p54 br1 v2407
p80 br2 v292
p105 br2 v1443
p128 br2 v2443
p128 br2 v2445
p174 br3 v1372
p174 br3 v1386
p174 br3 v1398
p177 br3 v1509

p188 br3 v1991
p230 br3 v3868
p235 br3 v4095
p248 br3 v4685
p299 br3 v6902
Et dist aus douze pers «Cist furent de morine {l. m'orine}
Par les bras l'a seisi, o ices {l. icés} deus l'en maine
«Qant vos laissai as tentes, molt oi sens de briçon {l. bricon}
Se par celui ne chie {l. chié} qui n'est pas des garçons
La loi li aporterent du tans Saint {l. saint} Jheremie
Le dona Moÿses {l. Moÿsés} el mont de Synaïe  
«Segnor, dist Alixandres, nen {l. n'en} adesés mais mie
A maus et a cugniés {l. cugnies} li peçoient la teste
A maus et a cugniés {l. cugnies} fu Dentirans tüés
Donques ot si grant ire onques mais ot {l. n'ot} si grant (le ms G porte d'ailleurs 
bien «mais not si»)
De meïsme l'apointe {l. la pointe} vait ferir Samüel  
Aincois {l. Ainçois} que li jors viegne qu'avés oï nomer
Car ainc nel pot lever ne del arçon {l. de l'arçon} fors traire
Orgelleusement dist: «Ca {l. ça} vien, Antigoné
Et le fer er {l. et} le fust li mist par mi l'entraille (le ms G porte d'ailleurs bien fer et {en abrégé} le).

§2.2.3. Gestion des corrections et des propositions de correction dans AlexParANum1.

Pour comprendre les principes d'AlexParANum1 en matière de corrections ou de propositions de correction, j'ai vérifié le 14 janvier 2002 comment les propositions du §2.2.2 se réalisent dans AlexParANum1, en recherchant les mots impliqués sur le site http://www.lib.uchicago.edu/efts/ ARTFL/projects/TLA. Dans la majorité des cas, les propositions de correction ont été substituées purement et simplement au texte erroné, sans signe particulier : par exemple on lit Se par celui ne chié qui n'est pas des garçons (cf. p105 br2 v1443). Mais quatre fois la proposition de correction reste signalée et elle passe entre parenthèses : c'est ce qui se produit pour les occurrences de p46 br1 v2066, p54 br1 v2407, p80 br2 v292 et p230 br3 v3868 (il conviendrait d'ailleurs de décoller la parenthèse ouvrante de ce qui la précède pour les occurrences de p46 br1 v2066 et de p54 br1 v2407). Selon les vérifications que j'ai pu opérer, la philosophie des corrections tacites et des propositions de correction explicites d'AlexParANum1 en ce qui concerne l'ensemble recensé supra §2.2.2 paraît être la suivante : une proposition de correction au texte d'AlexParA qui ne figure dans aucun volume du MFRA est signalée entre parenthèses, mais une proposition de correction au texte d'AlexParA qui figure quelque part dans le MFRA est introduite sans marque spéciale : par exemple Se par celui ne chié qui n'est pas des garçons d'AlexParANum1 (cf. p105 br2 v1443) répond à l'injonction à corriger qui se trouve dans le MFRA V, p. 197.

On prendra garde que ma description de cette philosophie s'appuie exclusivement sur le corpus produit §2.2.2 : je ne suis pas en mesure de vérifier avec méthode ce qui se produit ailleurs (ainsi, je note par hasard que le vers Tout li trenche l'escu qui fu fait a neel d'AlexParANum1 reproduit sans changement ce qu'on lit p188 br3 v1992, sans tenir compte de l'injonction à corriger fait en fais qui figure dans le MFRA VI, p. 40).

§3. Abréviations et codes utilisés dans la présente Notice.

AlexParA :
AlexParANum0 :
AlexParANum1 : 
BnF :
br :

DEAF :

fr. :
LFA :

G :
M :
MFRA :

ms :
p. :

p. :
PlouzeauAlexH :

TFA :
v : 

/./ :
voir §0.2 et §1.1 ;
voir §0.2 ;
voir §0.2 ;
Bibliothèque nationale de France ;
collé devant un chiffre = branche ; avec cette disposition et cette signification, cette lettre ne se trouve que devant des nombres se rapportant à des branches d'AlexParA ;
Baldinger (Kurt), puis Möhren (Frankwalt), directeurs, Dictionnaire étymologique de l'ancien français ; Québec (Université Laval), Tübingen (Niemeyer), Paris (Klincksieck) 1974; 
français ;
Laboratoire de Français Ancien (dirigé par France Martineau et Pierre Kunstmann, 
de l'université d'Ottawa)
ms Bnf fr. 25517 ;
ms BnF fr. 24365 ;
The Medieval French Roman d'Alexandre, 7 volumes publiés dans les Elliott Monographs in the Romance Languages and Literatures de 1937 à 1955 ;
manuscrit ;
collé devant un chiffre = page ; avec cette disposition et cette signification, cette lettre ne se trouve que devant des nombres se rapportant à des pages d'AlexParA ; 
page d'une publication autre qu'AlexParA ;
compte rendu d'une reprise partielle d'AlexParA dans la collection Lettres Gothiques publié dans la Revue des langues romanes 102 (1998), 193-205 ;
Textes de Français Ancien (textes numérisés préparés par le LFA) ;
collé devant un chiffre = vers ; avec cette disposition et cette signification, cette lettre ne se trouve que devant des nombres se rapportant à des vers d'AlexParA ; 
indique que je pratique une coupure dans mes sources.

§4. Remerciements.

Je tiens à remercier les collègues qui m'ont permis de réaliser la présente Notice sous la forme qu'elle revêt : M. Guy Astic, de Pertuis, rédacteur en chef de la revue Simulacres, M. Gérard Gouiran, Professeur à l'université Paul-Valéry de Montpellier, M. Pierre Kunstmann, Professeur à l'université d'Ottawa.



Dernière mise à jour : 01.04.2002
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