May Plouzeau, PercevalApproches, Abréviations : Notes
◊AbréviationsNotes

 

            ◊AbréviationsN1  Dans les parties du cours autres que les chapitres et que les notes des chapitres, la notion “page” est signifiée tantôt par p simple, tantôt par p suivi d’un point ; dans les chapitres, la présentation a été unifiée, et seul le p simple y est employé pour signifier cette notion.

            ◊AbréviationsN2  Dans les parties autres que les chapitres et que les notes des chapitres, la notion “page” est signifiée tantôt par p simple, tantôt par p suivi d’un point ; dans les chapitres, la présentation a été unifiée, et seul le p simple y est employé pour signifier cette notion.

            ◊AbréviationsN3  Soulignons qu’il n’est pas fait usage du signe “°” dans la partie ◊Mots en contexte, sauf dans le relevé intitulé “Quelques mots pour dire ’vieux’ dans PercLLé”.

            ◊AbréviationsN4  Cette fonction de clé est possible parce que je ne commente pas de mot d’ancien français qui, sous une forme ou sous une autre, ne puisse être rapporté à la nomenclature du TL.

            ◊AbréviationsN5  Pour les principes qui régissent l’apparition du signe “+” dans la partie ◊Glossaire, voir ◊Glossaire §b (et notes).

            ◊AbréviationsN6  En fait on ne saurait trop recommander l’usage de plusieurs jeux de guillemets, comme il est fait par exemple dans le DEAF. C’est principalement pour des raisons techniques que je n’ai pas diversifié les jeux de guillemets. Ainsi dans le ◊Glossaire sv +aise on constate que dans la zone des sens les mots de la séquence “commodité, agrément” se suivent sans être séparés par des guillemets, alors que sv +assez, les traductions “bien plus” et “beaucoup plus”, qui se suivent, sont chacune guillemetées : c’est que dans le premier cas, les traductions sont aussi une citation, tirée de PercL (dont la référence est donnée), tandis que dans le second, les traductions sont de mon cru (et j’ai coutume d’entourer par des guillemets chaque proposition de traduction) : on aurait pu prévoir des jeux de guillemets différents pour ces deux cas de figure.

            ◊AbréviationsN7 Voyez par exemple PetitRobert1993 p. XXII. (Attention ! La liste donnée au début de Descoubes n’est pas tout à fait au point.) Les signes de l’A.P.I. sont bien plus lisibles que ceux de l’alphabet dit de Bourciez. Par ailleurs, leur connaissance est indispensable à tout honnête homme.

            ◊AbréviationsN8  Par exemple, j’écris seignor, etc. ( = système du TL : +seignor), mais je présente la conjugaison françoise du verbe +plorer sous la forme plorer / il pleure dans la note 60 (= N60) au ◊Chap7 §215 : le choix de graphies systématiques pour le résultat de o long latin tonique libre eût exigé une réflexion soutenue ; j’aurais dû me dégager de l’emprise du TL et noter par eu le produit du o long tonique libre latin, du moins dans certains entourages.

            ◊AbréviationsN9  Les rares exceptions à cette pratique sont dûment signalées.

            ◊AbréviationsN10  Mais si les extraits sont très brefs, je n’introduis pas toujours de majuscule pour marquer les mots initiaux de vers. C’est ce qui se produit le plus souvent dans le ◊Glossaire pour la zone des articles consacrée aux formes. Tout dépend donc de l’usage que l’on veut faire de la citation.

            ◊AbréviationsN11  Le concordancier que Madame Léonard a fondé sur sa numérisation de PercL est dit concordancier d’une impression de PercL de 1981 : voir l’entrée PercLConcLéonard de la ◊Bibliographie. Or, il y a lieu de croire que le texte qui a servi de base à PercLConcLéonard est précisément PercLLé0.

            ◊AbréviationsN12  Dans la partie ◊Mots en contexte, les règles concernant la présence du signe “/./” sont les mêmes que celles qui sont exposées dans la partie ◊Abréviations section 3.d ; concernant la place de ce signe, elles sont les mêmes que celles qui sont exposées dans ◊Abréviations section 3.d, à une différence près : si la coupure intervient après le dernier vers d’une citation, le signe “/./” est porté à la fin du dernier vers cité ; ce signe est alors suivi d’un point (et dans ce cas la ponctuation qui dans PercLLé termine effectivement le dernier vers cité est le plus souvent supprimée) et/ou directement de guillemets fermants. On trouvera des illustrations de ce système dans ◊Mots en contexte pour le relevé de +afubler et +desafubler §B.a v2940, v3716 et pour le relevé de +maison et +ostel §B.g.2 v1907.

 

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Dernière correction : 5 avril 2005.
Date de mise à disposition sur le site du LFA : 16 avril 2007.

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