May Plouzeau, PercevalApproches, Chapitre 1 : Notes
◊Chap1Notes
◊Chap1N1 Lorsque je faisais mes études universitaires, nos professeurs n’employaient pas le terme ancien occitan, mais ancien provençal.
◊Chap1N2 Sur la signification du signe “+”, voir ◊Abréviations, section 2.a ; pour des exemples de son usage, voir ◊Chap1 §4.
◊Chap1N3 En bonne logique il fut un temps où l’on disait, selon le sujet à envisager, o ge, o ele, etc. ; mais o il s’est lexicalisé aux dépens des autres syntagmes, et a été perçu comme un seul mot ; il s’est transformé dans la prononciation en [wi], écrit oui.
◊Chap1N4 Ainsi le Dictionnaire du Moyen français, qui est en préparation, couvre la période 1330-1500.
◊Chap1N5 “On sait que le français vient de se doter d’une nouvelle périodisation qui fait se succéder l’ancien français, le moyen français (1330-1500), le français préclassique (1500-1650). Il serait trop facile d’ironiser sur cette périodisation qui tient plus compte de fiefs universitaires que des évolutions linguistiques.” (RoquesBestencier p171.)
◊Chap1N6 Plus précisément : “On peut admettre /./ que Lancelot et Yvain appartiennent, dans l’œuvre de Chrétien, à une même période d’activité qui irait de 1177 à 1181.” (LancR pVII.)
◊Chap1N7 En fait, la variante le / la du vers 6 peut s’interpréter de plusieurs façons.
◊Chap1N8 Je reproduis des transcriptions des manuscrits de Paris, BnF fr. 1433 et de Paris, BnF fr. 794 obligeamment fournies sur un support numérisé par Monsieur Pierre Kunstmann, professeur à l’Université d’Ottawa, que j’ai plaisir à remercier. La numérotation des vers est celle d’YvainR.
◊Chap1N9 Sur l’usage du signe “+”, voir ◊Abréviations, section 2.a.
◊Chap1N12 Le texte de T est restitué d’après la varia lectio de PercB, qui corrige ici son manuscrit de base.
◊Chap1N13 Si nous prononcions PercLLé v1507 et v1508 avec un e non accentué dans la dernière syllabe du vers, nous aurions des rimes féminines et des vers qu’on appelerait heptasyllabes à rimes féminines (alors qu’il nous faut des vers qui correspondent à la définition de l’octosyllabe, en prosodie française). Sur la versification, voir ◊Chap1 §8.
◊Chap1N14 Voir PercLConcAndrieu p259 ; je précise que les formes irer, iré, etc., qui se liraient [ir´e:r], [ir´e:], etc., sans [j] sont absentes de PercL. (Le TL range sous le lemme +irier les formes de irer.)
◊Chap1N15 Cf. DLFM2 p276b-p277a.
◊Chap1N16 Le texte mis au programme pour les étudiants ‘aixois’ de première année ne comportait pour 2004 que les vers 1301-2965.
◊Chap1N17 De qui sont ces vers (que leur auteur a décidé de ne pas ponctuer) ? La réponse se trouve ◊Chap2 §15.
◊Chap1N18
Certains monosyllabes peuvent ne pas élider leur [].
Exemple : Tant que es terres plainnes vint v1303.
◊Chap1N19 Cette dernière forme est celle du lemme du TL.
◊Chap1N20 La réponse à cet exercice se trouve ◊Chap2 §11.
◊Chap1N21 Les étudiants inscrits à l’université de Provence pouvaient faire des devoirs supplémentaires.
Fin de la section Chapitre1 : Notes de May Plouzeau,
PercevalApproches
◊Chap1Notes Fin
Dernière correction : 20 octobre 2006.
Date de mise à disposition sur le site du LFA : 16 avril 2007.