Remerciements

Il m’est difficile d’exprimer avec équité ma gratitude à tous ceux qui m’ont généreusement aidée pendant ce long parcours intellectuel. Je tiens d’abord à exprimer ma très vive reconnaissance envers mon directeur de thèse M. Pierre Kunstmann pour l'aide qu'il m'a apportée. Son intérêt et ses précieux conseils, surtout sur la traduction, m'ont été d'un grand profit et le travail fut d'autant plus agréable grâce à son amitié et ses encouragements. Je lui suis très reconnaissante aussi de m’avoir donné l’occasion de poursuivre mon intérêt dans le texte électronique par le biais du Laboratoire de Français Ancien. À ma codirectrice, Mme Chantal Phan, j'offre également mes remerciements profonds. C’est elle qui m’a lancée sur cette piste, et ses conseils et son amitié m’ont été précieux. J’aimerais exprimer ma sincère gratitude à mon regretté directeur de thèse Yvan Lepage, qui m’a soutenue par ses conseils érudits et ses encouragements, à Bill Winder de l'Université de la Colombie Britannique qui, de bonne heure, a piqué ma curiosité dans le cyberespace et m’a montré le chemin, et à May Plouzeau pour ses commentaires érudits.

Je suis redevable au Conseil de recherches en sciences humaines du Canada et à l’Université d’Ottawa pour avoir rendu possible ce travail par des bourses, et au Département de français de l’Université d’Ottawa pour l’appui que j’ai reçu, spécialement de M. Robert Yergeau, Président du Comité des études supérieures, et de Mme Jocelyne Gaumond, secrétaire, programmes d'études supérieures.

J’ai une grande dette de reconnaissance envers mon mari, Daniel Stovel, pour son appui et ses encouragements et pour avoir patiemment enduré de nombreux moments d'inattention de ma part (ainsi que des repas médiocres).

Finalement, j'aimerais dédier cette thèse à la mémoire de mon regretté mari, Doug Hardy. Tempus fugit, amor manet.