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Protocole de transcription

La transcription n'est pas strictement diplomatique, car les mots sont segmentés à la façon moderne, avec utilisation de l'apostrophe.

Les abréviations sont développées, dans la mesure du possible, selon l'usage de chaque copiste; les lettres suppléées sont soulignées.

On a distingué u/v et i/j. Le "s" long et le "s" arrondi sont transcrits par le simple s.

La lettre initiale du vers apparaît en majuscule.

Les lettres majuscules à l'intérieur ou à la fin d'un vers (à l'exception des noms propres) sont converties en minuscules.

Les lettrines sont en caractère gras, précédées d'un astérisque (*M).

Les initiales ornées sont en caractère gras, précédées de deux astérisques (**M).

Les initiales des noms propres sont mises en majuscules.

On a choisi de ne pas indiquer la ponctuation du copiste.

Les mots ou les lettres barrés ou exponctués par le copiste ne sont pas signalés.

Les lettres, mots ou vers, non barrés ou exponctués mais répétés ou remplacés par le scribe, sont mis entre crochets droits.

Les mots ou les lettres disparus ou bien illisibles ont été signalés par des points.Le tiret "-" indique un vers sauté ou supprimé.

Les vers interpolés, ou jugés tels, sont marqués par des lettres (a,b,c, etc) et ne comptent pas dans le numérotage.

L'absence du sigle d'un fragment indique que le/les folio(s) manque(nt).

Pour faciliter la comparaison entre les différentes versions d'un même vers, l'ordre des vers intervertis ou déplacés est rétabli. La correction est, à chaque fois, indiquée dans une note signalée dans le texte par un appel de note surligné (cliquer dessus). Ce cas mis à part, aucune correction n'a été apportée au texte.

Les signes diacritiques et la ponctuation modernes n'ont pas été utilisés.

Les numéros de vers sont répétés pour chacun des manuscrits; ce qui permet, au besoin, de dégager le texte de chaque manuscrit particulier à partir d'une copie du texte synoptique, par un simple procédé automatique.

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